Le mensonge est l'énoncé d'un fait contraire à la vérité , dans votre cas est-il délibéré ou fait-il partie de la dissimulation de la vérité.
Ou alors, tout simplement, votre C.V, est -il tout simplement non sincère.
Ne confondons pas ce qui n'est pas confondable.
Jean-Pierre Bonthoux
(le samedi 27 octobre 2007)
A l'évidence, le candidat ne saurait en aucun cas être tenu pour responsable des inexactitudes dans la retranscription des informations qui y figurent, pas plus qu'il ne l'est des impressions par nature subjectives et des avis émis en conséquence dont il est l'objet.
Je ne permettrai donc pas de contester le dire de Monsieur Jean-Pierre Bonthoux; l'honnêté de votre porte parole eut été complète si agrémenté des texte de loi ou jurisprudence en cours de validité.
La Justice n'appartient ni à vous même ni à Monsieur Jean-Pierre Bonthoux, même si il est un imminent juriste.
En l'état actuel, le dire de Monsieur Jean-Pierre Bonthoux s'apparente plus à une une manoeuvre dolosive, douteuse, et vous met indirectement en cause, vous n'êtes pas pas responsable, votre dossier comporterait un faux, grave pour vous Madame : Ministre de la République.
Il est vrai sous la tutelle de Nicolas Sarkozy à votre poste de Ministre, selon les oui dire: protection de Madame ex; votre soeur selon elle.
Il ne faut pas le confondre avec la contre-vérité, qui désigne simplement des affirmations inexactes sans préjuger du fait que leur auteur le sache ou non.
L'opposition vérité et mensonge est courante, entre les deux une petite notion absolue même floue rend ce qui pourrait être votre vérité floue.
Votre excès et votre empressement de vouloir contrer votre embarras par des suppositions racistes ( qu'auraient les journalistes) est grave et indigne d'une Ministre de la République, c'est une unsulte à toute la presse et à la France pays des droits de l'homme.
Madame gardez votre maîtrise, gardez la maîtrise de vos paroles, cessez de vous emporter.
Votre langage est le votre, et ne peut refléter que votre propre conscience,même celle que vous essayez de cacher.
Pour vous habituer à croire à votre vérité vous essayer de vous et de nous convaincre de votre mensonge!
Le dicton toute vérité n'est pas bonne à dire renvoie aussi à l'idée que, peut-être, toute vérité n'est pas bonne à entendre et entraîne ainsi le mensonge des mensonges, celui qui envoie au fond de l'abîme récurant de la fausseté.
Si dans votre cas l'erreur (s'il y a ) n'est pas de votre fait, ce que voudrait l'espérer tant de Français, au moins faites le ménage et demander un enquête, nous voulons la vérité entière et sans manoeuvre insidieuse.
Si il y a mensonge de votre part:
Est ce:
Un mensonge joyeux, énoncé pour plaisanter ou marcher quelque peu quelques journalistes. Il serai distingué toutefois lui-même de la simple plaisanterie de circonstance où les deux parties sont de connivence sans ambiguïté sur le fait que l'information mentionnée est fictive
Un mensonge officieux, ou officiel, vous savez celui que l'on énonce pour rendre service à autrui ou à soi-même. Ce mensonge est alors considéré comme plus ou moins grave, selon ce dont il s'agit et en fonction des circonstances qui l'accompagnent. Quand le mensonge officieux ne contient aucun élément nuisible, le sage ne le blâme pas chez autrui ; il en sourit, mais il l'évite pour lui-même.
Un mensonge pernicieux, qui a non seulement l'effet, mais le but de nuire à autrui, peut être sans le vouloir. En effet si votre dossier comportait des éléments fallacieux, non véridiques. Une personne a pu être lésés dans le classement. Ce mensonge ou cette inexactitude, parfois nommé par la littérature mensonge malicieux , est naturellement considéré tant par la morale que par la religion comme le plus grave des trois. C'est point fort de la compréhension de la morale occidentale; Une inexactitude a lésé autrui dans son développement de carrière, la recherche de déstabilisation de celles et ceux qui vont étudier votre dossier, c'est une façon pernicieuse.
Laquelle ?
la peur nourricière de toutes les colères
le mépris des autres et notamment de ceux qui avaient la charge d'étudier votre dossier
l'orgueil, maîtresse de toute ambition
la jalousie mère de l'égoïsme
la haine ( non je ne le cris pas)
l'appât du gain, etc.
L'affection, l'amour (pour impressionner ou protéger l'être aimé, également vrai pour l'amitié)
Le mensonge et la vie sociale.
On présente souvent le mensonge comme un mal.
Dans une relation humaine libre, il n'a pas sa place. On peut par contre reconnaître son utilisation dans le cas où on doit agir pour sa propre survie physique ou psychologique ou, à défaut d'autres moyens, pour s'adapter à un environnement donné.
Ce n'est nullement votre cas, je crois !
Il ne faut pas non plus confondre mensonge et pudeur qui elle, a pour but de ne pas agresser son interlocuteur, de faire passer la parole avant les actes et de rechercher une communication harmonieuse plutôt qu'une victoire.
La politesse peut toucher dans certains cas au mensonge, ou au moins à une certaine hypocrisie : le « bonjour-au revoir » accompagné parfois d'un sourire feint, les discussions entre voisins que l'on affecte de trouver passionnantes pour ne pas vexer, etc.
L' étiquette, les règles de conduite en bonne société, relèvent de la même ainsi que la diplomatie .
Ces comportements à plus d'une occasion insincères ne reflètent pas une relation vraie, bien qu'ils soient utiles à la société, et parfois même - à condition qu'il s'agisse de l'exception et non de la règle
Les parents demandent souvent aux enfants de ne pas leur mentir. Quand les enfants pressentent que la vérité va attrister une personne, ils sont pourtant tentés de mentir pour lui éviter cette peine.
Vous n'êtes plus une enfant !
Le droit (ensemble de textes destinés à réguler la société), moins exigeant que la morale ne réprime universellement le mensonge que s'il est émis lors d'un témoignage sous serment.
Le droit français, lui, précise les cas précis où il est inacceptable :
clause contractuelle
but d'extorsion de faveurs
falsification d'un document officiel (faux et usage de faux)
et, comme partout, témoignage devant un tribunal.
Cependant, en droit français l'accusé, lui, n'est pas un témoin : il ne prête pas serment et, s'il ment pour sa défense, il appartient au juge seul d'en tenir compte ou non dans son verdict.
Le droit peut en revanche condamner l'énoncé de la vérité,
pour protéger la vie privée — toute vérité n'est pas publique
quand il s'agit d'une vérité tronquée pouvant induire en erreur
lorsque l'opinion énoncée peut provoquer un trouble à l'ordre public.
Le droit ne voit donc pas toujours la sincérité comme une qualité
Il n'a d'ailleurs pas vocation, contrairement à la morale, à s'occuper des qualités. Chaque système a ses règles.
Problématique du mensonge officieux Le mensonge officieux semble parfois acceptable dans les cas où il peut, par exemple, sauver une vie (ou la qualité de la fin d'une vie).
S'il est dans ce cas plus ou moins admis de faire un mensonge qui ne touche qu'aux faits, la recommandation morale est plutôt de garder le silence plutôt que de répondre de façon insincère.
Cas du mensonge par omission
Cicéron recommande une morale bien plus stricte : dans Des devoirs, il n'autorise même pas le marchand à taire une situation qui, passée sous silence, lui permettrait de vendre à prix plus élevé.
Il donne explicitement l'exemple du navire chargé de céréales qui arrive dans une ville où il y a famine et dont le capitaine ou l'armateur sait que d'autres le suivent en grand nombre.
Cicéron déclare clairement qu'il est inacceptable sur le plan moral de cacher cette information aux habitants de la ville dans un but, par exemple, de vendre ses céréales plus cher en laissant perdurer la crainte de pénurie.
Les religions citent volontiers une recommandation de l'évangile :« Que votre oui soit oui et que votre non soit non. Tout ce qui est rajouté vient du Démon ». (Matthieu 5, 37). En d'autres termes, jurer est inutile car un chrétien ne doit de toute façon pas mentir.
La vérité est présentée comme un bien important dont chacun a besoin pour éclairer et régler, d'une façon juste, les jugements de son intelligence et pour guider, d'une façon sûre, la conduite de sa volonté.
L'aspect social, voire conjugal, est également mentionné : des relations correctes ont besoin de la franchise, de la confiance mutuelle et de la sincérité.
La notion de « pieux mensonge », pour utiliser la terminologie profane, n'est pas acceptée.
""La langue qui ment est abominable devant Dieu !"" (Proverbes 12,22), ""Dieu hait les menteurs ! » (Psaumes) et, dans l'Apocalypse :"" La place des menteurs est dans l'étang de soufre et de feu ! "".
La qualification de menteur est en quelque cas que ce soit considérée comme avilissante, contrairement :
L'hypocrisie est considérée comme du « mensonge en action » : elle consiste en effet à agir autrement qu'on ne pense, et constitue donc une fausseté. On rappellera le peu d'aménité de Jésus pour les Pharisiens qu'il traite même de « Sépulcres blanchis » et de « loups ravisseurs ». (Matthieu 23,27 ; et 7,15.) --
Madame identifiez vous dans la vérité
jeudi 1 novembre 2007
Inscription à :
Commentaires (Atom)